Dans le cadre d’une politique de revitalisation des cours d’eau, un projet d’envergure en liaison avec la renaturation des sources de la Seymaz débuta en 2000 dans l’environnement immédiat du château. Cette politique incita les archéologues à proposer parallèlement un programme d’intervention visant à protéger les ruines et étudier les origines du château.

Ainsi, les investigations menées dès l’année suivante mirent au jour des vestiges exceptionnels qui permirent de restituer l’existence d’une Bâtie en bois ayant précédé l’édification du château médiéval en pierre, dont on admire encore les ruines imposantes.